2. QUI AURAIT PU CROIRE QU’UN
VIRUS ALLAIT CHANGER NOS
COMPORTEMENTS ?
COVID-19
3. Alors que nos gouvernements nous perfusent à grands coups de chèques en
blanc et que les entreprises tentent de reprendre le cours habituel de leur vie,
nous pourrions penser qu’un retour à la normal est possible.
Que Nenni ! En réalité, confinés et isolés, nous avons déjà écrit les premiers
paragraphes d’une nouvelle histoire.
Certains des changements observés sont des accélérations de tendances
déjà existantes, les autres sont en train d’émerger.
Même si nous n’avons pas de boule de cristal,
nous pensons que ces tendances sont à surveiller car elles devraient s’installer
tranquillement dans le temps.
6. C’est la tendance dont nous sommes le plus surs et qui a déjà démarré il y a
environ 5 ans. Mais en quelques semaines, elle s’est fortement accélérée. En
Amérique Latine, 13 millions de personnes ont essayé le numérique pour la
première fois.
Réduire les contacts est une motivation commune à tous les consommateurs
du monde entier.
8. Pourquoi cette tendance devrait perdurer ? Parce que le commerce
électronique est souvent plus efficace, moins coûteux et plus sûr pour les
clients.
Pour nous, il est donc nécessaire de repenser notre relation avec nos
consommateurs. Quels canaux numériques privilégier ? Comment personnaliser
au mieux les messages ? Data et analyses seront des éléments clé pour la prise
de décision, tout comme les nouvelles modélisations des parcours clients.
10. Si le secteur bancaire par exemple a déjà pénétré ce marché il y a
quelques années, la crise sanitaire a accéléré le mouvement pour d’autres
secteurs. Les gens n’achètent plus seulement des produits, ils veulent
avoir accès aux services.
12. C’est pour nous, une belle occasion de créer de nouvelles relations avec
les consommateurs. Et si c’était l’occasion de créer des synergies entre
différents secteurs ? Par exemple une plateforme d’achat de maisons
pourrait proposer des services de déménagement…
14. Aujourd’hui, nous vivons, travaillons, apprenons, achetons et nous
amusons…à la maison, d’autant plus que le travail à distance perdure.
L’intention des consommateurs de toujours plus se divertir chez eux
augmente.
15. Cela signifie pour les
annonceurs qu’il faudra
toujours plus engager
avec les interfaces et
appareils intelligents
dans toute la maison.
16. Comment commercialiser avec Alexa et Google Home ?
Comment transmettre des messages sur les devices présents à la maison
et tous connectés en même temps, sans être intrusifs ?
Quid du mix média ?
Un nouvel écosystème conversationnel est déjà né.
18. Suite à l’arrêt des déplacements, l’environnement proche,
le local, a retrouvé une importance considérable.
Ainsi, de nombreuses communautés se sont-elles créées pour mettre en
contact les gens d’un même environnement, notamment des groupes d’entraide.
19. Localiser ses actions de
communications pourrait
permettre aux marques de
mieux engager avec leurs
consommateurs et de créer
une relation forte de proximité
et très personnelle.
21. Santé personnelle et bien être économique restent des préoccupations
majeures pour chacun d’entre nous. L’impact de la pandémie sur ce
sentiment devrait être durable, d’autant que celle-ci n’est pas terminée.
Pour protéger le consommateur, il va falloir repenser les expériences achat,
la circulation en point de vente, le libre-service, le sans contact, …
22. La pandémie a
augmenté la fidélité
des consommateurs à
une marque ou à une
enseigne : on va à
l’essentiel, vite. Là où
on est en confiance.
24. Les valeurs, toujours les valeurs. Les consommateurs se disent toujours
enclin à suivre les marques qui auront été utiles et bienveillantes pendant
la crise. Nous allons donc devoir nous poser la question plus que jamais des
messages à faire passer, des causes à défendre, des actions à mener.
Faire ce que nous dirons. Dire ce que nous ferons.